Remboursement hospitalisation psychiatrie : à combien la meilleure mutuelle prend en charge la chambre individuelle et les soins psychiatriques ?
Le remboursement de l'hospitalisation en psychiatrie par les meilleures mutuelles couvre les principaux frais d'admission en hôpital ou en clinique psychiatrique à plus de :
- 100 €/jour pour la chambre individuelle pendant 15 à 90 jours et aux frais réels pour une durée illimitée pour le forfait journalier.
- 300 % pour les honoraires des psychiatres et des psychologues hospitaliers
Découvrez les meilleurs remboursements de l'hospitalisation psychiatrique par les mutuelles partenaires à « Mutuellespascheres.fr ». Aussi, pensez à réaliser vos devis gratuits pour choisir une mutuelle qui rembourse sans délai de carence la chambre individuelle et les frais d'hospitalisation en psychiatrie.
Remboursement hospitalisation en psychiatrie : que prennent en charge les meilleures mutuelles pour la chambre individuelle et les séjours en service psychiatrique ?
Le remboursement de l'hospitalisation en psychiatrie par les meilleures mutuelles santé prend en charge au complet le ticket modérateur et couvre, plus ou moins intégralement, les coûts de séjour et de soins à travers des garanties de l'ordre de :
Garanties | Swiss Life | April | Apivia | Apicil |
---|---|---|---|---|
Chambre particulière | 135 €/jour | 130 €/jour | 110 €/jour | 100 €/jour |
Frais de séjour | Frais réels | Frais réels | Frais réels | Frais réels |
Forfait journalier | Frais réels | Frais réels | Frais réels | Frais réels |
Honoraire (psychiatre, neuro-psychiatre, etc.) | 400 % | 275 % | 350 % | 300 % |
Les remboursements de l'hospitalisation en psychiatrique par les meilleures mutuelles
Les meilleures mutuelles remboursent l'hospitalisation psychiatrique sans délai de carence et couvrent pour une durée illimitée les frais de séjour et le forfait journalier.
De plus, elles prennent en charge la chambre individuelle en service psychiatrie jusqu'à 90 jours. Faites vos devis pour comparer le nombre de jours remboursables avant de choisir la mutuelle qui vous couvre le mieux.
Il est à noter que plusieurs partenaires du comparateur « Mutuellespascheres.fr » assurent de bons remboursements des soins des dépressions (saisonnière, stress post-traumatique, post-partum, etc.). Aussi, elles prennent en charge jusqu'à 25 €/séance pour 7 consultations par an de psychologue non couvert par la CPAM et à 100 % les 8 séances de « Psy » acceptées par la CPAM.
Dans de nombreux cas, cela permet d'éviter un séjour en service psychiatrique. Faites vos devis gratuits pour choisir la meilleure mutuelle pour le remboursement de l'hospitalisation en psychiatrie.
Remboursement hospitalisation en psychiatrie : quelles prises en charge par la mutuelle et quel est le prix d’un séjour en service psychiatrique ?
Le remboursement de l'hospitalisation en psychiatrie par les mutuelles santé complète intégralement les prises en charge du séjour en service psychiatrique par la Sécurité sociale.
En pratique, les restes à charge consécutifs à une admission à l'hôpital psychiatrique suite aux remboursements par l'Assurance maladie sont en moyenne de :
- 62,60 €/jour pour une hospitalisation de jour
- 153,20 €/jour pour une admission complète durant les 30 premiers jours.
En effet, pour toute admission en service de santé mentale, le patient est redevable du ticket modérateur des soins et du forfait journalier hospitalier (15 €/jour) auxquels s’ajoutent les éventuels frais de confort et dépassements d’honoraires.
À titre indicatif, voici des exemples des prix moyens d'une hospitalisation libre ou sans consentement en cas d'une admission en structure publique de soins psychiatriques :
(Coûts moyen d'une journée en service de psychiatrie calculé à partir des prix pratiqués par 10 hôpitaux publics)
Tarifs moyens d'une hospitalisation en service psychiatrique pour un séjour complet, de jour ou de nuit
Il est à noter que le prix moyen d'une hospitalisation psychiatrique à domicile ou en foyer d'accueil médicalisé est moins cher ; 120 à 485 €/jour.
Vu ces coûts et ceux des autres frais d'hospitalisation, une mutuelle santé à la carte et sans délai de carence est recommandée surtout pour couvrir les frais d'admission d'urgence en psychiatrie.
Dans ce cas, une attention particulière est à porter à la date d'activation des garanties et au nombre de jours d'internement remboursés par la mutuelle.
Ainsi, une hospitalisation psychiatrique sans mutuelle santé devient vite une source illimitée de difficultés financières. Alors, réalisez vos devis instantanés sur « Mutuellespascheres.fr » et trouvez la meilleure mutuelle santé en termes de : garanties, délai de carence, durée maximale de l'internement en psychiatrie remboursée, tarifs, etc.
Aussi, lors de parcourir le tableau de garantie de la mutuelle psychiatrie qui vous intéresse posez-vous les questions suivantes pour améliorer encore plus votre choix :
- Le remboursement du forfait journalier psychiatrie est-il illimité ?
- Les honoraires du psychiatre, psychologue et pédopsychiatre sont-ils remboursés ?
- Y a-t-il possibilité d'éviter l'avance des frais grâce au tiers payant ?
- Quels sont les modes d'hospitalisation en psychiatrie remboursables ?
- Quelle est l'étendue des garanties proposées et concernent-elles les médecines douces préconisées dans les soins psychocorporels ?
- Le nombre de jours d’hospitalisation psychiatrique remboursables est-il comptabilisé par année civile (du 1er janvier au 31 décembre) ou par année d’adhésion (De la date du début à celle de la fin du contrat santé) ?
De cette manière, vous êtes sûr de choisir une mutuelle aux meilleurs remboursements de l'hospitalisation en psychiatrie et des soins liés.
Jeune et hospitalisé en psychiatrie : partagez vos expériences pour aider les autres adolescents
Séjourner dans un service psychiatrique pour une dépression ou une crise d'anxiété, est encore perçu comme un signe de démence ou de folie. Ce regard accablant rend encore plus difficile cette expérience surtout pour les adolescents qui considèrent que l'hospitalisation sans consentement est loin d'être toujours la meilleure solution pour les mineurs.
D'ailleurs, de nouvelles alternatives thérapeutiques émergent chaque jour comme l'accueil psychiatrique familial, l'hospitalisation spécialisée à domicile, etc.
Laissez vos témoignages pour porter secours aux autres.
Article mis à jour le 28/08/2024 | Par Mutuellespascheres.fr
Je me lance !
A la rentrée scolaire, je trouve mon copain avec une autre. Je ne peux pas l’accepter ; retirement, mal entente avec mes deux meilleures copines, prise de poids, isolement et enfin dépression.
Le résultat est une tentative de suicide, un lavage d’estomac et bien sûr un passage en service psychiatrique. Sur ce coup-là, mon pédopsychiatre m’a gâtée ; 6 semaines d’hospitalisation renouvelables et plein d’antidépresseurs que je trouve inutiles.
Rien qu’en voyant la détresse des autres patients j’étais guérie d’office. De plus, je suis tombée sur la championne de France des casse-pieds qui m’embêtait à chaque fois que les infirmières avaient le dos tourné.
Maintenant, je m’en sorts mieux, peut être grâce aux médicaments et j’ai changé de lycée pour éviter les chocs émotionnels.
Le plus dur pour moi est que mes parents ont donnés leurs accord pour m’hospitaliser sous contrainte et sans chercher à me comprendre.
Ils m’ont d’abord emmené dans un centre médico-psychologique puis dans un service de pédopsychiatrie avec d’autres ados souffrants de différents troubles (suicidaires, anorexiques, délires, automutilation, etc.).
Après 3 semaines, on m’a autorisé d’avoir des visites et à sortir pour consulter mon psy de jour et continuer mon hospitalisation la nuit. J’ai eu une conversation à tête reposée avec mes parents. Maintenant, ils comprennent ce qui ne va pas avec le lycée et ils cherchent à me muter. Je pense que c’est ce qui me motive et chasse les idées noires de mon esprit.
Dépressive, au bord de l'anorexie et mal dans ma peau, j’ai accepté qu’on me place dans une unité pour ados. C’est humainement froid, pas un sourire, pas d’amis, pas de parents, aucune compassion et beaucoup d’indifférence.
J’ai pleuré et supplié mes parents pour me transférer dans une clinique privée. Là, je peux vous dire qu’il n’y a pas photo.
Les visites d’amies sont autorisées, les infirmières sont plus proches, les copines de chambres plus détendues,…
Depuis, ça fait une année et je vais bien. Pourvu que ça dure.
C’est terrifiant, seul, pas de portable ou d’affaires personnelles, aucun contact avec l’extérieur.
Bon après, on s’habitue mais vu mon âge, ce n’est vraiment pas facile.
La cerise sur le gâteau, ce sont les activités qu’on nous forçait à suivre en groupe : arts plastiques, scrabbles, cuisine,…. C’est pour vous dire qu’on s’ennuyait ferme.
L’enfant fragilisé psychologiquement perd toute confiance en ses géniteurs. Après, il n’osera pas demander de l’aide ou leurs parler de ses problèmes de peur d’être interné à nouveau.
Le dialogue et l’écoute avec le cœur, il n’y que cella ça de vrai.